Catégories

L’inflation face à la mondialisation

Par le 1 Sep - Economie

La mondialisation est devenu un thème majeur avec l’émergence exponentielle des pays asiatiques à citer la Chine.  On se pose toujours la question si la mondialisation est vraiment la source de l’inflation ; pourtant tous pays en soif de progrès constant est dépendant de ce marché à grandes échelles surtout avec la réforme capitaliste. Cela donne un aspect du mal pour un bien, mais la réalité relate qu’effectivement l’impact de la mondialisation pourrait compenser la hausse des prix mais le PIB en souffre d’avantage avec la hausse du taux de chômage par exemple dû à la réduction des entreprises industriels dont les produits sont remplacés par des produits finis beaucoup moins cher, importés.
L’inflation, aujourd’hui, n’est pas une menace. La mondialisation devrait continuer à la contenir. Il y a, en effet, trois sources d’inflation :

l’inflation salariale, qui naît dans un pays ou les hausses de salaires sont systématiquement et durablement plus élevées que les hausses de productivité ;

l’inflation par la demande, lorsque celle-ci croît plus vite que la production ;

l’inflation importée.

En effet, la mondialisation a un impact beaucoup plus négative surtout en dehors de la zone euro, qui avec l’entrée importante des devises, pourrait faire déprécier la monnaie locale.

la mondialisation ferait monter les prix. Pourquoi ?

Parce que, grâce à la mondialisation (tout de même !) certains pays de l’ex-tiers-monde se développent, en particulier la Chine et l’Inde. Ceci implique que les nouveaux producteurs de biens manufacturés exercent une pression accrue sur les ressources rares (énergie et matières premières). D’où « ce parallélisme étonnant depuis dix ans entre la montée en puissance de la Chine dans les importations totales de pétrole et le prix du baril ». Et la Banque de France  de montrer un graphique où il y a corrélation entre des deux phénomènes, donc effet de causalité ! Tout cela est relaté par le Figaro, « les antimondialistes en déduisent que les consommateurs occidentaux paient certes leurs tee-shirts bon marché, mais qu’il leur en coûte de plus en plus pour faire le plein en carburant ! ».