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Placement immobilier : les 5 clés de la réussite

Par le 10 Jan - Investissement immobilier

L’immobilier est un placement qui gagne chaque année en attractivité auprès des Français. Quelle que soit la raison qui préside à ce choix d’investissement – se constituer un patrimoine, diversifier son épargne, préparer son avenir –, réussir son placement immobilier nécessite toutefois de bien connaître le marché et de savoir où l’on met les pieds. Car on ne s’improvise pas champion de la pierre en claquant des doigts ! Voici les 5 clés d’un investissement immobilier réussi.

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1. Prendre connaissance de l’état du marché

Un placement immobilier n’est pas une partie de blackjack : ne vous contentez pas de mettre de l’argent aveuglément sur la table en espérant que la chance vous sourie ! Au contraire, étudiez le marché immobilier qui vous intéresse et apprenez à en prévoir les évolutions à moyen et long terme. Construisez votre projet en fonction des réalités économiques du moment et du type d’investissement que vous souhaitez faire. Par exemple, si vous envisagez de vous lancer dans l’immobilier locatif, il vous faudra étudier les prix au mètre carré par ville et par quartier, ainsi que la rentabilité locative moyenne et les montants des taxes foncières locales. Bref, obtenir une vue d’ensemble du marché qui vous intéresse !

2. Se donner des objectifs clairs

Pas question de vous lancer au hasard et de prendre n’importe quel placement immobilier au prétexte qu’il promet une rentabilité astronomique. Commencez par vous fixer des objectifs en fonction de vos besoins : quel but cherchez-vous à atteindre ? Quels sont les investissements qui vont permettront d’y parvenir ? Pour vous donner une idée, voici 5 objectifs qui peuvent justifier un placement immobilier :

  • Devenir propriétaire aujourd’hui pour habiter son logement plus tard

  • Se constituer un patrimoine immobilier et bénéficier d’une petite rente

  • Diversifier ses placements

  • Profiter d’avantages fiscaux (loi Pinel, loi Censi-Bouvard)

  • Augmenter sa trésorerie grâce à des bénéfices à court terme

Alors, dans quelle catégorie êtes-vous ?

3. Ne pas prendre de risques inconsidérés

Tout investissement présente des risques, et l’immobilier n’y échappe pas. Même le fait d’investir dans le locatif n’est pas exempt de dangers. En conséquence, non seulement vous devez préparer correctement votre projet de placement immobilier, mais il vous faut également rester prudent dans vos choix, surtout si vous faites vos premières armes dans ce domaine. Prenons un exemple concret : si vous souhaitez réaliser un investissement locatif, sélectionnez un bien dans une commune à forte rentabilité. Un bon ratio entre le prix d’achat et le montant des loyers vous permettra de rembourser sereinement votre crédit immobilier et de pallier les divers imprévus qui ne manqueront pas de vous tomber dessus.

4. Commencer par un placement immobilier sûr

Investir dans la pierre est une opération lourde de responsabilités. Si vous achetez un appartement ou une maison pour louer, il faudra en gérer l’entretien et la mise en location. Pourquoi ne pas démarrer avec un placement sûr et dénué d’obligations ? Le crowdfunding immobilier vous permet de participer au financement d’un projet lancé par un promoteur, en fonction du programme qui vous intéresse, sans avoir besoin de maîtriser tous les codes de l’immobilier. Les rendements proposés sont attractifs et les risques moindres, avec des tickets d’entrée assez bas (1 000 €) et des retours sur investissement à court terme (autour de 12 ou 24 mois). Pour un bon placement immobilier de ce genre, privilégiez des plateformes sérieuses comme Homunity.

5. Intégrer la fiscalité dans ses calculs

La fiscalité est un point crucial à prendre en compte avant de vous lancer dans un placement immobilier quel qu’il soit. Investissement locatif, parts dans une SCPI ou financement participatif – tous les instruments qui consistent à placer de l’argent dans la pierre sont soumis à une fiscalité plus ou moins élevée, que vous devez prendre en compte dans vos calculs en amont. Dans la mesure où cette fiscalité est fortement changeante (les dispositifs gouvernementaux sont parfois renouvelés, parfois non ; la taxation des plus-values évolue quasiment à chaque législature), il est recommandé de bien suivre l’évolution des réglementations en la matière.